Des experts pour éradiquer l’humidité dans votre habitation
Des experts pour éradiquer l’humidité dans votre habitation

Lutter contre l’humidité dans les Landes et au Pays-Basque
Nous protégeons votre habitation de l’humidité et de ses conséquences (champignons, moisissures, dégradation des matériaux, problèmes de santé) grâce à notre expertise. Nous mettons à profit notre expertise pour diagnostiquer les pathologies de votre habitation est les traiter à l’aide de produits efficaces et vous conseille pour lutter contre l’humidité.

Pourquoi traiter contre l’humidité?
Pour préserver la solidité de votre habitation
L’humidité menace votre habitation : les conséquences de l’humidité comme la formation salpêtre et le développement de champignons (la mérule…) fragilisent la structure de votre maison en favorisant le pourrissement et mettent en danger la solidité de votre habitation. Il est important de s’y prendre dès les 1ers signes d’humidité pour prévenir l’insalubrité.
Pour protéger votre santé
L’excès d’humidité dans votre maison favorise certaines pathologies, en particulier les pathologies respiratoires, les allergies et les problèmes articulaires. Le taux d’humidité idéal dans un logement est entre 45% et 65%.


Votre habitation saine et protégée au cœur de nos exigences
Comment identifier l’humidité?
Voici les symptômes typiques de l’excès d’humidité que vous pouvez observer dans votre maison :
– La buée, les gouttes sur les vitres
– Les tâches sur les murs
– Le papier peint, les plinthes qui se décollent
– Des moisissures
– Des champignons sur le bois
– La peinture cloquée ou qui se craquelle
– Une odeur désagréable
– La dégradation des châssis en bois des fenêtres
– Une sensation de froid et d’humidité
– Des dépôts blancs (comme une barbe blanche)
Quelles sont les causes de l’humidité excessive dans votre maison?
– Les infiltrations : Elles peuvent survenir à la suite d’une fuite du toit ou dans vos canalisations et peuvent toucher les plafonds, murs et sols. On parle alors d’humidité pénétrante.
– Les fuites : Ce sont des problèmes ponctuels qui sont souvent dues à des causes accidentelles (fuite, inondation…).
– Les remontées capillaires : Quand l’eau présente dans le sol remonte par les fondations, elle peut atteindre vos murs et l’intérieur de votre maison. L’eau remonte par les pores des matériaux de construction par un phénomène de capillarité. Lors de sa remontée, elle charrie des sels solubles (nitrates et sulfates) qui se matérialisent par une barbe blanche. Ces sels hygroscopiques, absorbent l’humidité et maintiennent un taux d’humidité élevé et permanent sur les murs, c’est ce qu’on appelle le salpêtre. Le salpêtre est responsable des décollements d’enduits, de peinture, de plâtre sur les murs.
– La condensation : C’est une manifestation causée par une faible ventilation, une mauvaise isolation ou un chauffage inadéquat.
– Les sels hygroscopiques : naturellement présents qui absorbent l’humidité atmosphérique dans les maçonneries (sable non nettoyé ou mur exposé à l’océan).
Comment traiter les problèmes d’humidité?
Il faut faire appel à un professionnel pour lutter contre l’humidité car son expertise permettra de faire le diagnostic approprié en allant au-delà des apparences (champignons, pourriture, dégâts cachés). Nous dressons un état des lieux précis des dégâts liés à l’humidité, nous identifions la source du problème et enfin, nous le traitons efficacement et rapidement.
Comment fonctionnent les traitements contre l’humidité ?
Le traitement contre les remontées capillaires :
Création d’une barrière contre l’humidité
Nous créons une barrière d’étanchéité dans les murs, qu’ils soient creux ou pleins. Nous injectons dans les murs des produits à base de résine à basse pression. L’objectif de ce procédé est de colmater le réseau capillaire responsable de l’humidité ascensionnelle grâce au procédé de polymérisation.
Séchage
Le traitement est efficace au bout de 5 à 6 jours. L’assèchement peut ensuite commencer et dépendra de plusieurs facteurs : le taux d’hygrométrie, la température, la ventilation. Il faut compter entre 6 et 15 mois de délai pour que l’humidité disparaisse complètement et que les sels migrent vers l’extérieur.
Traitement contre le salpêtre
Il est indispensable de traiter le salpêtre (dépôt de sels hygroscopiques) lors du processus d’assèchement du mur avant de procéder au remplacement des revêtements de murs détériorés par l’humidité.
Consolidation
Nous préconisons un traitement de consolidation qui augmente la cohésion et la solidité des structures et qui limite la présence de sels hygroscopiques. Cette opération est nécessaire pour la réfection des plâtres, des enduits… On peut compléter cette démarche en ajoutant un adjuvant d’étanchéité aux plâtres et ciments pour réduire le délai de séchage de ceux-ci.
L’humidité – Traitement et prévention pour votre habitation
Le traitement contre les problèmes de ventilation
La VMI ® : Installation d’un dispositif breveté, innovant & efficace de ventilation La solution de ventilation VMI® résout les problèmes d’humidité au sein de votre habitation. Le procédé VMI® est un système de ventilation des locaux basé sur le principe de l’insufflation. L’air extérieur est prélevé en un point, filtré de ses polluants particulaires (particules fines, pollens, etc…) puis insufflé en un ou plusieurs points. L’air insufflé avec une surpression balaye ainsi toutes les pièces dont celles sujettes à l’humidité pour s’en échapper de manière naturelle via les bouches d’aération. Cela permet aussi d’évacuer tous les polluants intérieurs : humidité, CO2, COV, remontées de radon.
Le traitement contre les champignons lignivores destructeurs : la mérule et le coniophore
Les champignons comme la mérule et le coniophore se développent en se nourrissant du bois et créent de la « pourriture cubique » sur celui-ci en transformant la cellulose. Ce procédé détruit votre bois et met en péril la solidité de votre habitation car la pourriture s’étend de façon inéluctable.
Chaque traitement est spécifique au champignon identifié et doit être appliqué en suivant un protocole strict pour ne pas favoriser son développement en éparpillant ses spores. Il s’agit de traitements antifongiques par injection ou par pulvérisation.
Identifier tous les endroits où les champignons se cachent
La mérule a la capacité de survivre dans un état de sommeil pendant plusieurs années, ce qui rend son identification très difficile et nécessite l’œil expert d’un professionnel. Ce champignon est souvent caché derrière le lambris, les plaques de plâtre, dans les vides sanitaires. La mérule a la capacité de causer d’énormes dégâts dans les habitations. Il est souvent nécessaire de mettre les murs à nus pour mesurer l’étendue des dégâts.
Le coniophore a besoin de davantage d’humidité, c’est pourquoi on le retrouve le plus souvent dans les caves et les sous-sols.
Identifier le(s) champignon(s) en cause
Dans certains cas, il peut être nécessaire d’effectuer des analyses complémentaires pour identifier la nature de l’infestation.
Traiter les causes de la présence des champignons : l’humidité
Il faut commencer par traiter les causes de la présence de ces champignons : les remontées capillaires, les infiltrations, les fuites, la mauvaise ventilation, les atmosphères confinées. Les champignons ont besoin d’une source d’humidité pour vivre.
Traiter les champignons
Chaque traitement est spécifique au champignon identifié et doit être appliqué en suivant un protocole strict pour ne pas favoriser son développement en éparpillant ses spores. Il s’agit de traitements antifongiques par injection ou par pulvérisation.
Quelles sont les choses à ne pas faire en cas de problèmes d’humidité ?
Ne pas cacher les moisissures avec un nouveau revêtement (plâtre, ciment, peinture étanche «anti-humidité», panneaux d’isolation). Toutes ces techniques ne résoudront pas le problème, au contraire. Cela permettra uniquement de le cacher temporairement jusqu’à ce qu’il s’aggrave.
– Ne pas se calfeutrer en colmatant les ouvertures ou en arrêtant d’aérer, même par temps humide. La ventilation d’une pièce est essentielle, on peut contrôler le flux d’air mais l’arrêter sera aussi un facteur aggravant.
– Ne pas «gratter» la surface des champignons et en particulier de la pourriture cubique du mérule car cela contribue à son développement en libérant ses spores dans l’atmosphère.
– Ne pas nettoyer le mérule à l’eau de javel car ce champignon apprécie l’ammoniaque et cela contribue aussi à son développement.
Mieux comprendre les problématiques liées à l’humidité :
Dit-on La mérule ou le mérule ?
Mérule est un nom à la fois masculin et féminin, on peut donc dire « le mérule » ou « la mérule ».

Qu’est-ce que la mérule ?
La mérule est un champignon dit de « pourrissement cubique » qui se développe sur le bois et qui est présent dans les endroits obscurs, humides et confinés. Il a besoin pour se développer d’un taux d’humidité du bois entre 20% et 22%. Il a l’aspect d’une ouate blanche épaisse qui s’éparpille en filaments. Il s’attaque à presque toutes les essences de bois, en particulier les résineux. Il peut déployer ses filaments sur plusieurs mètres afin de trouver une source d’humidité. Le mérule a la capacité de survivre malgré un manque d’humidité en entrant en période de latence. C’est pour cela qu’il est très difficile de l’éradiquer. La mérule n’est pas dangereuse pour la santé mais favorise les difficultés respiratoires et les allergies. La mérule est un danger pour la structure de votre habitation. Dans certains départements, la mérule fait l’objet d’arrêtés préfectoraux dont le but est de déclarer sa présence et de limiter sa prolifération. Pour l’instant le 64 et le 40 ne sont pas concernés.
Qu’est-ce que le coniophore ?
Le coniophore des caves est un champignon lignivore cousin de la mérule. Il se développe à l’aide de filaments à l’aspect ouateux. Sa couleur évolue de blanc/transparent au début pour finir par devenir brune ou noire. Il a besoin d’un taux d’humidité très important pour se développer (>50%) et donne au bois un aspect spongieux.
D’où provient l’eau à l’origine des remontées capillaires ?
L’eau présente dans le sol sous votre habitation peut être due à la présence d’une nappe phréatique, d’une petite source, d’un terrain capillaire ou un terrain peu perméable qui ralentit la vitesse d’infiltration des eaux pluviales dans le sol.